AVIS DES LECTEURS
11 Avril 2020
Une histoire très touchante...
La Confession. Dès les premières pages, j’ai été happée par l’histoire de ce prêtre qui a la surprise de recevoir en confession un inconnu
lui demandant pardon pour son prochain crime : il va tuer son confesseur. Pour quelle raison ? C’est ce que ce prêtre va devoir découvrir avant de se présenter devant Dieu, tué par celui qui se
présentait en confession. La suite va révéler le coeur du mystère, une histoire d’amour quasi filial, un abandon involontaire et enfin une rédemption. Autour du fil de ce roman, d’autres personnages
tout aussi attachants vont participer à l’intrigue, des hommes et des femmes simples, empreints de bonté, chacun portant sa croix et en recherche de l’amour et la tendresse qui justifient une vie.
J’ai adoré le dénouement, me disant : « Bien sûr, il ne pouvait en être autrement… »
Henri nous conte là une histoire extrêmement touchante qui m’a, à certains moments, mouillé les yeux d’émotion, mais aussi parfois fait rire dans des situations cocasses, le tout dans une écriture
simple et efficace qui nous va droit au coeur.
Je n’oublierai pas de sitôt les personnages.
Donie
10 Mars 2020
Antoine est curé de campagne. le jour de ses 75 ans, tout va de travers dès le début de la journée. Mais le plus étonnant est que
quelqu'un l'appelle pour se confesser et que cet inconnu lui annonce qu'il doit le tuer.
Antoine n'a pas eu une enfance heureuse. Son père lui a reproché d'être la cause du décès de sa femme, décédée lors de sa naissance. Il a passé ses journées, saoul, à le tabasser. Antoine a passé son
temps à contredire son père, qui critiquait l'Eglise, au point de devenir curé.
Mais Antoine est un curé un peu spécial. Il n'avait pas vraiment la vocation. Il est devenu prêtre pour expier les péchés de son père et le "sien". L'annonce de son assassinat va le perturber et
changer sa vision des choses. Il va réfléchir pour essayer de connaître l'identité de son futur assassin, au point de devenir parano. Cela n'empêchera pas l'inconnu de le poignarder...
Petite lecture sympa. Les personnages sont attachants. Mais j'ai été un peu déçue par la fin, trop abrupte.
Merci aux Éditions NDB et à Babelio grâce à qui j'ai pu découvrir cet auteur.
Marie504
13 Février 2020
Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai jamais été me confesser, mais je n'ai jamais lu non plus les confessions d'un curé, et bien c'est chose
faite.
Antoine est un curé de 75 ans, qui oeuvre dans un petit village du nord de la France, si ses fidèles viennent le voir tous les dimanches matin, il va vite s'apercevoir qu'il ne les connaît pas tant
que cela au final.
Nous suivons les derniers moments de la vie d'Antoine, et il se confesse, sur ce qu'il a fait, ce qu'il aurait du faire et sur ce qu'il aurait aimé faire. C'est avec beaucoup d'humour, qu'Antoine
nous raconte son quotidien, ses souvenirs, ses regrets... Bref, sa vie.
J'ai aimé ce roman qui se lit d'une traite, l'auteur a su y mettre tous les ingrédients pour le rendre captivant et si le sujet peut paraître banal, il n'en ai rien car Antoine a eu une vie, et
celle-ci fût riche d'événements.
Je vous conseille ce roman qui permet de passer un agréable moment de lecture.
Titiseb77
13 Février 2020
Merci à Babelio et aux édition NDB édition pour leur confiance et l'envoie de ce roman. Sélection de la masse critique.
Je parlerais en premier du joli travail de la couverture, ce paysage de campagne dans la brume, au bord de l'eau, avec une silhouette humaine un peu angoissante.
J'ai trouvé le style narratif assez intéressant, en tant que lecteur nous sommes dans la tête du père Antoine, et nous ressentons l'évolution de son sens moral.
Les personnages de l'histoire sont extrêmement bien construit, peut-être que l'auteur c'est inspiré des personnes de son entourage pour leur donner vie dans son roman. Ils sont attachant, et j'ai eu
envie d'en savoir plus sur eux et de faire leur connaissance.
C'est dans cette partie de ma critique qu'il va y avoir du spoil.
Donc le père Antoine reçoit un mystérieux appel anonyme. Son interlocuteur lui donne rendez-vous au confessionnal. Durant cet entretient ce personnage va annoncer au curé qu'il va devoir le tuer. A
ce moment je me suis dis "wahou la suite va vraiment être sympa", mais la couverture nous parle d'une enfance difficile et de confessions d'un curée ?!?
L'histoire est cousu de fil blanc, les nombreux personnages défilent sous nos yeux, certains sont même insignifiant. Pas moins de 23 personnages sont présentés au début du roman sur 200 pages je
trouve que sa fait beaucoup. Je n'ai pas eu la sensation de lire des confidences de la longue vie d'un curée de campagne. J'ai eu l'impression que l'auteur voulait nous raconter trois histoires
différentes en même temps.
Wookiko
20 Juin 2018
La confession
Il est impossible de ne pas tomber sous le charme du père Antoine, rentré dans les ordres par défi plus que par foi. Homme tendre, aimé de ses paroissiens, il est parfois cru dans ses paroles, mais toujours attachant... On a tous envie d'être son ami. Sa fin me laisse triste.
Merci Henri pour ce beau moment de lecture.
Aprés le "Voyage d'Antonin", je suis devenue une "fan" de vos récits.
Marilyn Malaterre
26 Mai 2018
La première chose que j'ai aimé dans ce livre à l'achat en a été la couverture pour être franche... puis j'en ai commencé la lecture...
J'avoue que j'ai voulue en stopper la lecture au bout de deux pages... raison personnelle...
Puis ayant pris sur moi... j'en ai repris la lecture et là je n'ai plus laché ce livre qui trone sur mon chevet...
A lire... il est prenant, touchant et réaliste...
Facile à lire et très beau...
Ne vous fiez pas comme moi je l'ai fait au démarrage...
Vous ne le regretterez pas.
Francine H.
25 Mai 2018
La confession, les gens ne sont pas toujours ce que l'on croit...
24 Avril 2018
Bonsoir à tous ! Ce soir, je m'improvise chroniqueuse pour rendre hommage à un livre que j'ai lu cet après-midi et qu'il faut absolument que tout le monde lise ! La confession I de Henri Lacombe ! Voici donc ma petite chronique sans prétention aucune !!!
La confession mérite son titre car ce roman est très justement écrit comme une réflexion, une pensée profonde au sein de laquelle des petites pauses anecdotiques et des remarques finement ciselées s'insèrent pour donner un ensemble à la fois attachant et dérangeant de par la simplicité apparente de ce curé de campagne, le père Antoine, qui dissimule bien des secrets et une personnalité somme toute complexe. J'aime le style parfois abrupt et tranchant, cependant empli de douceur, de perspicacité et de clins d'oeil emprunts d'un humour percutant auquel je suis sensible. Le père Antoine finit par nous laisser entrer dans l'intimité de ses pensées parfois inavouables et laisse planer le mystère. Il va de soi que le lecteur attend la confession II avec impatience !
Merci Henri pour ce bel instant !
Par Nathalie Antien
Un roman très fort et fascinant avec en toile de fond la foi, l'espoir et la gentillesse d'un homme d'Eglise.
Êtes-vous prêt(e)s à entrer dans la peau d'un curé de campagne ? Mais évidemment que j'étais prête !
9 Avril 2018
5 Avril 2018
J'aurais aimé rencontrer le Père Antoine !
Je finis ce roman et je suis encore sous son charme. Henri Lacombe a crée un très beau personnage qui fait de son mieux avec les gens qu'il côtoie.
"Un bon livre est un livre qui fait oublier au lecteur qu‘il est en train de lire" .
Cette citation est le reflet parfait de ce que j'ai ressenti en me plongeant dans la confession 1.
J'ai été happée par le père Antoine qui m'a conduit directement, parie ne sais quelle magie, de mon fauteuil à son presbytère.
J'étais dans chaque pièce où il se trouvait, je l'accompagnais dans chacun de ses déplacements. J'ai souris avec lui. J'ai eu mal avec lui. J'ai eu la sensation d'être son double invisible.
Je n'ai pas lu son histoire, je l'ai vécue.
C'est là, sans aucun doute, Henri Lacombe Auteur, le trait d’une plume talentueuse...
J’attends la suite avec impatience !
Sandrine Gambi Labatut
Je viens, par la présente, me confesser sur « la confession I »
A la fois touchant et émouvant, quelquefois surprenant et attendrissant et constamment humain et attachant ! Je me suis laissée porter par le personnage du père Antoine, parfois déroutant et un brin cynique mais qui, au fond de lui, aime ses fidèles... et les autres. Ses attitudes et ses réflexions nous ramènent à notre propre façon d‘être. C’est une très belle aventure contée avec des mots justes, simples et pesés. Une écriture comme je l’aime et qui me touche ! Pour finir, je dirais que ce livre me laissera une trace dans le cœur et ça me plaît : Bravo cher Henri et continue d'écrire avec ta tête et ton cœur pour notre plus grand plaisir et le tien !
Valérie Dautherives
29 Mars 2018
Belle leçon de vie !
La confession, un titre qui m’a fortement interpellé. Cette mise à nu devant l’autre n’est pas un acte ordinaire. C’est un acte solitaire qui demande bien du courage, une force de s’avouer ses propres faiblesses avant même de l’avouer à l’autre… On se sent seuls bien qu’entourés. Nous aimerions tous être entendus, être compris, sans être jugés avec l’espoir que quelqu’un pansera nos blessures… Des êtres en manque d’amour que nous sommes continuellement… Un curé de compagne qui reçoit comme confession sa mise à mort par un inconnu, et voilà que je tourne fiévreusement les pages pour connaître la suite. Je ne fus guère déçue, une belle leçon d’amour, d’humilité, de compassion envers soi-même et son prochain. Les personnages paraissent si réels, si proches… Je les observe, je les écoute, je les vois se mouvoir dans l’espace-temps. Je referme le livre et j’éprouve de suite une nostalgie. C’est magique, je n’ai pas envie que ça se termine. Merci pour ce très beau moment de lecture !
Par aviscène
Il y a 5 mois.
La confession, un titre qui m’a fortement interpellé. Cette mise à nu devant l’autre n’est pas un acte ordinaire. C’est un acte solitaire qui demande bien du courage, une force de s’avouer ses propres faiblesses avant même de l’avouer à l’autre...
On se sent seuls bien qu’entourés. Nous aimerions tous être entendus, être compris, sans être jugés avec l’espoir que quelqu’un pansera nos blessures... Des êtres en manque d’amour que nous sommes continuellement... Un curé de campagne qui reçoit comme confession sa mise à mort par un inconnu, et voilà que je tourne fiévreusement les pages pour connaître la suite. Je ne fus guère déçue, une belle leçon d’amour, d’humilité, de compassion envers soi-même et son prochain. Les personnages paraissent si réels, si proches… Je les observe, je les écoute, je les vois se mouvoir dans l’espace-temps. Je referme le livre et j’éprouve de suite une nostalgie. C’est magique, je n’ai pas envie que ça se termine. Merci l’ami !
Maria Ruiz
Il y a 5 mois.
Je viens de finir ”La confession" d'Henri.J'ai passé 2h de lecture à sourire,a être happée par cette histoire de curé pas collés les autres.L'humour omniprésent est vraiment très agréable, sans pour autant faire oublier les drames vécus par certains personnages. Bravo Henri pour ta plume envolée qui m'a transportée dans ce village, près du père Antoine.
Le texte très aéré dans sa présentation se lit tout seul.
Nelly Topscher
Il y a 5 mois.
Un grand merci à Henri Lacombe de m’avoir permis de lire son dernier roman, « La Confession I ».
Le décor de cette histoire est très habilement planté, au point que dès les premières pages, je me suis inconsciemment laissé happer dans « le petit monde » du personnage principal, un prêtre que l'on rêverait de connaître, d'avoir même comme meilleur ami. Et cet atypique curé de campagne n'est pas le seul à être aussi attachant. La personnalité de chaque personnage est truculente à souhait. Chacun a son passé, plus ou moins joyeux, mais tous ont la même quête : l'amour. Quant à la plume d'Henri, elle est légère, simple mais très efficace, emplie d'un humour qui touche en plein cœur. À la fin du roman, je dois avouer que je me suis senti quelque peu frustré, car j'en aurais aimé bien davantage, ou du moins un peu plus avant le mot « fin ». Ce qui est très bon signe, et qui me pousse à écrire que ce roman est une franche réussite, c’est que quelques jours après les avoir quittés, le père Antoine et son amie Suzette sont, avec douce nostalgie, encore bien présents dans mes pensées".
A. Anceschi